La résonance illimitée des bonnes pensées

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Traducteur : Julien Jeanmaire

Relectrice : Eugénie Vasson

【Life Wisdom】 25 octobre 2020 - La résonance illimitée des bonnes pensées

Labénévole de Tzu Chi en Malaisie, Huang Jin-Ron s'est adressé à la personne recevant de l’aide : « Cela vient avec les bons vœux de Maître Cheng Yen. L'avenir sera meilleur. Le maître vous transmet ses meilleurs vœux. ”

La personne aidée, Jadina, a déclaré : « Je suis vraiment heureuse. Cet argent m'aidera vraiment à acheter des produits de première nécessité comme du lait maternelle. »

Wang Bi-yi, bénévole de Tzu Chi, a déclaré : « Peu importe le montant que vous donnez, si vous donnez une pièce chaque jour, 10 cents, 20 cents, 5 cents, c'est bien, donner quotidiennement, c'est avoir une bonne pensée tous les jours. »

Une autre personne aidée, Rosafawadi, a déclaré : « J'ai reçu cet argent ; J'aiderai d'autres personnes dans la mesure de mes capacités ».

Le Maître Cheng Yen a dit : « Partageons le Dharma avec les gens. Je pense que je suis vraiment béni, depuis plusieurs décennies; J'ai reçu l'amour de tant de gens. Tout le monde m'a donné son amour. Tout le monde m'aime et écoute mes enseignements, alors quand je passe un appel, des dizaines de milliers de personnes y répondent, c'est ainsi que Tzu Chi est devenu ce qu'il est aujourd'hui. Il y a plus de cinquante ans, les gens faisaient des dons de 50 cents, cette pratique se poursuit aujourd'hui et se pratique partout dans le monde.

De nos jours, le monde est rempli de tant d'impuretés, ainsi que de nombreux désastres. Je suis très reconnaissant à la pensée qu'il y a plus de cinquante ans; l'idée de faire des dons de 50 cents était une très petite pensée, cependant, 50 cents semblaient encore plus insignifiants. Pourtant, de nos jours, cette pensée est une pensée courante chez les bénévoles de Tzu Chi du monde entier. Tant que nous aurons de la bonté dans nos cœurs, cette douce énergie surement résonnera, et cette pensée, que nous partageons tous, atteindra le cœur de Bouddha et des bodhisattvas. Pour une pensée comme celle-ci, le simple fait d'y penser et de chanter une prière ne suffira pas. Non, ça ne suffira pas. Nous devons saisir chaque seconde et minute de notre temps, tout en faisant attention à notre direction, car nous ne pouvons pas nous en écarter, même pas un tout petit peu.

Prenez une boussole par exemple. Son centre ne doit jamais dévier ; car un petit changement entraînera une grande imprécision des directions. J'espère que tous les bénévoles pourront toujours maintenir le centre de Tzu Chi qui est comme une boussole, où que nous nous tournions, nous sommes dans le cercle. Quelle que soit la direction dans laquelle nous nous dirigeons, lorsque nous servons tous ensemble, nous ne nous en écartons jamais. Nous ne différencions pas les gens en fonction des religions. Le plus important est leurs cœurs. Les chrétiens et les catholiques émulent la bienfaisance de Jésus pour tout le monde. En tant que bouddhistes, nous pratiquons la compassion du Bouddha. Tout le monde ouvre son cœur. Un tel état d'esprit large peut tout englober dans le cosmos. Cela signifie que nos cœurs peuvent inclure toutes les choses du cosmos. En un mot, nous pensons toujours à réaliser le travail de Tzu Chi.

Alors que la pandémie de COVID-19 se poursuit, Tzu Chi a distribué des équipements de prévention contre l’épidémie et apporté une aide à de nombreuses personnes dans le besoin ; ils parlent tous différentes langues. Nous avons fourni une aide aux personnes en fonction de leurs besoins et l'avons effectuée dans un temps opportun pour aider à résoudre leurs problèmes le plus rapidement possible. En somme, nous aidons les gens dans le monde; nous devons nous unir avec nos forces respectives. Partout où il y a un besoin, nous irons; tel est l'esprit de la compassion du bodhisattva qui aiderait en entendant les prières de ceux qui souffrent. Partout où il y a de la souffrance, le Bodhisattva regarderait ceux qui souffrent avec compassion et étendrait ses mille mains pour tendre la main aux gens qui souffrent, peu importe où ils se trouvent à tout moment et en tout lieu. Les bénévoles de Tzu Chi servent ainsi. Dans de nombreux endroits, ils ne sont pas appelés par leurs noms ; on les appelle les bénévoles de Tzu Chi.

Les bodhisattvas dont le Bouddha a parlé il y a plus de deux mille ans existent vraiment dans notre monde moderne. Jusqu'à présent, cet enseignement du Bouddha n'a pas été largement pratiqué, les gens ne connaissent que l'esprit ; ceux qui sauvent les autres sont appelés LES bodhisattvas. Est-il si facile de rassembler les forces de nombreuses personnes pour aider les autres ? Si nous regardons en arrière dans l'histoire, c’est difficile de le trouver. Maintenant, je n’ai cessé de dire que Tzu Chi doit faire une chose tout de suite. Il s'agit d'enregistrer et de compiler l'histoire de Tzu Chi.

Maintenant, vous organisez en ligne le groupe d'étude sur le livre électronique, les participants partagent leurs expériences et notent leurs pensées. En apprenant le Dharma, si vous n'avez pas appris de bons enseignements, vous ne serez pas capable de dire des mots gentils ou d'écrire de bons articles. Après avoir écouté le Dharma, vous apprenez à dire des mots gentils. D'après ce que j'entends de votre partage, je vous admire vraiment. Les mots que vous utilisez sont corrects et vous prononcez chaque mot très clairement, ni trop vite ni trop lentement.

Cela est dû à la pratique. Vous devez remercier Meiyun pour cela car elle vous a formé. Avec une sincérité sans réserve, vous partagez vos idées avec les participants du groupe d'étude. Ainsi, mon Dharma ne s'est pas égaré. Comme une boussole, tant que nous ne nous éloignons pas du centre et que nous restons dans le cercle, je crois que nous ne nous égarerons pas.

Je suis très touchée. Nous avons maintenant des bénévoles en Europe, en Australie, en Amérique, en Asie et en Afrique qui participent au groupe d'étude. Nous devons être plus assidus car ce n'est pas encore répandu. Nous devrions toujours être dans l'état d'esprit que nous n'avons pas assez répandu le Dharma. Parce que le Dharma n'est pas encore répandu, notre apprentissage du Dharma n'est jamais suffisant. Alors, nous ne deviendrons pas devenir arrogants. C'est ce que je veux vous dire. Donc, je suis reconnaissante. Je suis reconnaissante aux bénévoles de Tzu Chi d'avoir été avec moi dès le début. Ils ont fait cela avec amour et on mit mes enseignements en action. Je dis une chose et mes disciples agissent tous en conséquence. Ils ont fait beaucoup et diffusé largement le travail de Tzu Chi.

C'est ma bénédiction. En fait, vous avez aussi des bénédictions, nous pouvons donc nous réunir grâce à ces bénédictions communes. Des gens bienveillants viennent à vos rassemblements. Vous rencontrez de bonnes affinités, écoutez de bonnes paroles et dites des paroles aimables ensemble. C'est votre ressemblance. Nous devons saisir cette ressemblance pour ne pas perdre notre temps. Nous devrions avoir l'état d'esprit que notre Dharma est infini et sans frontières. S'il vous plaît, utilisez notre temps correctement. »

Les participants du groupe d'étude en ligne ont fait le vœu : « Faites des progrès. Allez, Allez, Allez. Mettez les enseignements en action. Étudiez et apprenez le Dharma. Soyons plus appliqué et rapprochons-nous du cœur du Maître. Utilisez la technologie pour promouvoir avec assiduité le végétarisme. Il est possible d'amener les gens à devenir végétariens. Mettez nos vœux en action. Aimer le maître, c'est parler davantage de Tzu Chi. Aimer le maître, c'est parler davantage de Tzu Chi. Aimer le maître, c'est parler davantage de Tzu Chi. »

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